
Juan Moioli – Retranscription du Live MeilleursBiens Parole d’Agent
Introduction
Michael Benchabat a eu le plaisir de recevoir Juan Moioli pour un nouveau Live Parole d’Agent du réseau de conseillers immobiliers MeilleursBiens un peu particulier 🥳
En effet, Juan est l’un des tous premiers agents à avoir rejoint le réseau 100% commissions en 2018 !
Après 10 ans en agence, il a sauté le pas pour être plus libre, plus autonome et pour pouvoir bénéficier d’une meilleure rémunération.
Voici son témoignage 👇
Juan Moioli : Retranscription de son témoignage
Michael : Bonjour et bienvenue à toutes et tous sur ce Live Parole d’agent MeilleursBiens. C’est un Live un peu spécial parce que c’est avec Juan Moioli qui est un de nos tous premiers agents MeilleurBiens. Il est avec nous depuis quatre ans.
C’est également son anniversaire aujourd’hui, son anniversaire MeilleursBiens. Il nous a fait confiance depuis le tout début et j’ai hâte de vous le présenter. Ceux qui ne connaissent pas Juan, vous allez découvrir quelqu’un de formidable ! Nous avons d’ailleurs fêter ses 20 ans dans l’immobilier il y a quelques temps.
Alors nous sommes en direct sur Facebook, LinkedIn, YouTube et Instagram.
Alors Juan ? Comment ça va bien ?
Juan : Écoute, ça va bien nickel !
Michael : Alors Juan, pour ceux qui ne te connaissent pas encore, est-ce que tu peux te présenter s’il te plaît ?
Juan : Je suis Juan Moioli, demeurant à Hagondange, entre Metz et Thionville. Je suis dans l’immobilier depuis 20 ans et des poussières, puisqu’on a fêté ça ensemble en avril dernier (rire). J’ai passé 17 ans en agence immobilière puis 4 ans exclusivement chez MeilleursBiens.
Michael : Donc tu es passé directement en tant que mandataire et tu as fait un seul réseau, c’est le réseau MeilleursBiens.
Juan : Quand j’étais en agence, je les critiquais un petit peu les mandataires : « Il nous mange le pain sur le dos…). Quand il a fallu faire un saut, je suis tombé sur MeilleursBiens grâce à une publicité très accrochante !
Michael : Alors raconte-nous un peu ! Raconte-nous comment tu es tombé par le plus grand des hasards sur MeilleursBiens. Même si je ne crois pas trop au hasard (rire).
Juan : J’étais en négociation pour augmenter mon pourcentage d’honoraire avec mon agence. J’ai subi un refus et ça m’a mis le cerveau à l’envers. J’ai cherché du boulot et cherché du boulot.
Et les algorithmes de Facebook ont bien fait leur travail puisque voyant que je cherchais du boulot dans des agences immobilières, ils m’ont remonté une annonce MeilleursBiens : « Ça vous ferait quoi de gagner 100 % de vos honoraires » ? « C’est quoi ce truc ? Où je bosse on veut pas me donner 10 % de plus et eux ils m’en donneraient 40 % de plus ??? Il y a forcément une arnaque. » Oui et l’arnaque, elle dure depuis quatre ans. Ça fait quatre ans que je me fais arnaquer et j’adore ça. Ha ha ha. Je plaisante évidemment c’est génial (rire).
Michael : Ha ! Non, c’est vrai que c’est ce que est ce que tout le monde se dit de prime abord, de se dire « Mais elle est où l’arnaque ? ». Toi tu es là pour pour en témoigner depuis plus de quatre ans que c’est bien réel. Et d’ailleurs tu peux annoncer à combien de transactions tu es entre les ventes et les locations ?
Juan : On a justement regardé le compteur ensemble aujourd’hui ! Je suis à 210 transactions en 4 ans ! Alors ça pourrait dire « Ouah, le mec qui cartonne ! » Mais c’est parce que je fais pas mal de locations.
Michael : Excatement
Juan : 60 à 71 transactions ventes et 139 locations.
Michael : Et c’est vrai que tu fais beaucoup de locations et ça permet, comme comme tu le disais, de traverser des périodes plus creuses.
Juan : Ben c’est ça. Et puis je t’avais dit si je peux pas faire de location, je viendrais pas. Je l’avais dit ça !
Michael : Ouais, c’est exactement ça. Et d’ailleurs, tu nous a beaucoup aidés à mettre en place toute la gestion des transactions de location. Parce que, au début, on a tout pensé que pour les ventes, mais on n’a pas pensé aux locations. Et tu nous as beaucoup aidé à tout mettre en place pour la location.
Juan : Et aujourd’hui, on est au top. On signe le bail à 15 h, le client a la facture à 14 h. Il fait un paiement CB devant moi. Si le propriétaire est aussi réactif, j’ai le virement le soir même.
Michael : Exactement ! Donc ça, il faut que je le précise à ceux qui ne savent pas, c’est que les honoraires de location, aussi bien pour le locataire que pour le propriétaire, sont payés directement grâce à un lien CB qui nous arrive et on a automatiquement la facture de l’agent et on est notifié donc du règlement des honoraires. Et dès que nous sommes notifiés des honoraires, c’est assez rapide pour être payé ou pas Juan ?
Juan : Le record c’est un bail signé à 15 h avec les honoraires sur le compte à 17 h. Là, c’est exceptionnel. Voilà. Mais déjà que la location, c’est un métier de l’immobilier qui paie rapidement. Parce que en général, tu fais tes encaissements pour la signature du bail. Mais là, même si ça transite par MeilleursBiens, quand ça se goupil bien, t’es payé le jour même.
Michael : Et c’est vrai que les notaires, parfois, ont tendance à prendre un petit peu de temps avant de régler les honoraires. D’ailleurs, assez souvent, les conseillers immobiliers MeilleursBiens envoient un petit message sur le tchat Caroline : « Oui, j’ai pas encore été réglé » et on leur demande toujours de savoir si le notaire a déjà effectué le virement. Et dans neuf cas sur dix, c’est le notaire qui n’a pas encore effectué le virement. C’est la raison pour laquelle on n’a pas nous effectué le virement derrière. Mais généralement ça se fait. Ça se fait même très très très très vite.
Juan : Le top du développement, ce serait que tu payes avant que le notaire paye. Mais ça, je pense que c’est pas gérable (rire).
Michael : Ecoute, après ça s’appelle des avances de trésorerie, c’est un peu plus compliqué (rire). Mais voilà, on essaie de faire au mieux.
On a une question pour toi de Jean-Pierre qui dit « Est ce que c’est toi qui gère la sélection des dossiers locataires ? »

Juan : Alors pour la petite histoire, dans les locations que je fais, il y a deux façons de les faire. J’ai beaucoup de clients pour qui je fais des locations simples, c’est à dire la mise en relation entre le propriétaire et le locataire.
Et il y a la façon gestion locative avec Ma Gestion Locative. C’est eux qui prennent la main. J’envoie le dossier sur le service de location. J’ai d’ailleurs eu un refus de dossiers aujourd’hui avec quelqu’un qui avait bidouillé des fiches de paie. Donc comme quoi ils sont très efficaces.
Et dans le cadre de mes locations simples, c’est des clients de 20 ans pour certains et ils en sont au stade où ils me disent « Ecoute, ils te convient le profil ? S’il te convient, il me convient aussi. » Donc je dis toujours à mes clients « Je mets des locataires chez vous, comme si je les mettais chez moi », donc ça m’évite les erreurs.
Michael : Ce qui est plutôt très honorable. Et alors ? Dis-nous, tu étais donc en agence immobilière traditionnelle, tu as même eu ta propre agence immobilière. Il faut le dire ça quand même.
Juan : Oui, on a eu notre agence avec mon épouse. C’est elle qui était détentrice de la carte T.
On avait ouvert une agence, on a tenu 18 mois parce que on avait choisi une rue de la Gare pour être proche de la gare, où il y a tous les frontaliers qui arrivent du Luxembourg tous les soirs et qui voit une offre vitrine en priorité. Enfin bref, l’emplacement stratégique.
On savait que la rue allait être en travaux, mais on ne savait pas que ça allait durer deux ans et demi. C’était une galère. Et au bout de 18 mois, on a préféré jeter l’éponge plutôt que de tout foutre en l’air. Donc à ce moment là, j’avais créé 65 lots de gestion et un confrère de la commune me les a racheté en me disant « Écoute, je te rachète tes gestions, mais tu viens bosser avec moi. »
C’est la dernière agence avec qui j’ai travaillé, où j’ai fait six ans. Et aujourd’hui, je crie haut et fort à ceux qui critiquent MeilleursBiens que quand j’avais mon agence pour ouvrir la porte le premier du mois, il me fallait 5 000 hors taxes entre le loyer, la secrétaire qui était mon épouse, mais il fallait lui sortir un salaire, les charges, le matériel pour exposer les biens en vitrine, le matériel pour travailler. Tout ça me coûtait 5 000 € hors taxes tous les mois.
Tout ça, je l’ai aujourd’hui pour 400 € TTC chez MeilleursBiens. Donc il n’y a pas besoin de faire des grandes écoles de commerce ! On s’en sort mieux !
Michael : Bah il y en a qui auraient simplement besoin d’apprendre à compter parce que parfois on entend des discours incroyables : « Moi chez moi, j’ai ça gratuitement », « Dans notre réseau, c’est gratuit », mais rien de gratuit ! Il n’y a rien de gratuit ! Chez nous, ce n’est pas gratuit non plus, mais simplement c’est plus équitable !
Et tu m’arrêtes moi si je me trompe Juan, mais c’est plus évident parce que c’est vous qui faites tout le job, c’est toi qui est sur le terrain, qui fait rentrer les mandats, qui fait les ventes, qui fait les locations. Donc il est logique que tu perçoive le maximum de rémunération derrière. Donc ceux qui nous disent « C’est gratuit chez moi » ce n’est pas gratuit ! Quand vous reverser 30 ou 40 % de vos commissions, ce n’est pas gratuit, c’est même très très cher payé. En fait si on pose les chiffres, c’est très cher payé mais malheureusement tout le monde ne sait pas poser des chiffres (rire).
Juan : Je discute avec plein de collègues qui sont encore en agence ou qui sont dans d’autres réseaux. Ils sont aveuglés par pas mal de choses. En fait, ils ont les outils qu’il leur faut pour bosser beaucoup. Ils ont un patron qui rentre des mandats, donc c’est uniquement des gens qui sont capables de faire des sorties. Ils ont beau être excellent vendeurs, ils ne savent pas rentrer un mandat. Donc c’est dommage. Mais après voilà non, c’est pas grave, mais MeilleursBiens ne peut pas plaire à tout le monde.
Michael : Mais on ne plaît pas à tout le monde et on a été très critiqué et on est encore très critiqué (rire). Mais ce n’est pas grave, on le prend bien, on est ravis même de toutes ces critiques qui ne sont pas très justifiées, qui sont surtout assez malveillantes. Mais c’est pas grave ! C’est que quelque part, on est dans la bonne direction et dans le bon sens et au contraire, ça nous conforte d’avoir ces critiques un peu malveillantes de certains.
Et puis surtout, nous, ce qui nous donne des ailes aussi bien à Julien, mon associé, qu’à toute l’équipe, c’est des retours comme les tiens. Tu m’avais dit quelque chose qui m’avait particulièrement touché au début, je me suis dit c’est pas possible, c’est un peu trop. Mais en fait, tu m’avais justifié que non quand tu m’avais dit et je m’en rappelle comme si c’était hier, c’était il y a trois ans et demi et tu m’avais dit « Michael, MeilleursBiens a changé ma vie ! ».
Juan : Oui c’est clair ! Quand tu as fait 17 ans en agence, que la première agence ne te payait que 17 % de com’ avec un SMIC et que tu as 100% de commissions en face, c’est vite vu. Ce que tu fais avec tes 100 points après, c’est toi qui décide. J’ai souvent eu des responsables d’agence qui ne mesuraient pas le chiffre d’affaires que je produisais pour eux. Dans une année, c’est moi qui leur a apporté le plus pourtant.
Michael : Effectivement !
Juan : J’ai bossé dans une agence où il y avait 17 commerciaux. J’étais dans le top cinq, je ne me vante pas. Mais sur le fond de grille, c’était des gens qui faisaient leurs courses en même temps qu’ils allaient bosser. Et quoi donc ? Ils étaient un peu dans le profil MeilleursBiens indépendant. Ils ont du temps libre, ils en profitent. Mais quand le patron te donne un fixe tous les mois, il veut que ça cartonne.
Michael : Mais tu as bien raison et c’est pour ça que le modèle du réseau ne correspond pas à tous les profils. Parce que non seulement il faut déjà avoir de l’expérience, il faut être autonomes, indépendants et savoir faire rentrer ses propres mandats (parce que on ne vous fournit pas les mandats sur un plateau). Bien que depuis peu de temps, on a mis en place le générateur de contacts vendeurs avec le widget d’estimation directement sur les sites des agents pour essayer de pousser quelques contacts vendeurs. Mais ça ne fait pas tout non plus.

Brice qui nous dit « Je viens de discuter avec un responsable régional de Humain Immo ce matin qui parle d’une année 2023 très compliquée. Qu’en pensez vous ? »
Eh bien, c’est ce que la presse nous annonce depuis quelque temps. Je pense que la presse en fait un peu des caisses. C’est un peu abusé. Et lorsqu’on entend, la presse et lorsqu’on lit un peu tout ça, on a l’impression que c’est la catastrophe, que c’est la fin du monde.
D’ailleurs, il y a une grande fédération qui avait annoncé la fin du monde dans l’immobilier, plus de 15000 pertes d’emplois. Et puis ils ont annoncé que l’année 2021 allait être extrêmement difficile, extrêmement compliquée, avec les crises, les confinement successifs. Il s’avère que 2021 a été une année record. On a fait 1 170 000 transactions en France, ce qui est le record absolu.
Là, à en croire les différentes remontées de la chambre des notaires, on devrait faire une année qui va être autour du million de transactions. Pour moi, ce ne sont pas des chiffres de crise. 1,2 million. C’est un record absolu. 1 million. C’est loin d’être la crise. En revanche, lorsque nous étions en 2008 et qu’on était autour des 600 000 transactions. Oui, là, c’est clair qu’il y avait un vrai ralentissement. Je ne pense pas qu’on soit dans cette conjoncture. Voilà ce que j’en pense.
Juan : Moi, sur le terrain, je me rends compte qu’un appartement que j’ai en vente actuellement, sur les douze derniers mois, je le vendais en trois semaines, un mois. Et là, je vais fêter les un mois de mandat et j’ai fait trois visites et ça ne s’emballe pas dessus. Les gens que j’ai rencontrés, ils vont à la banque, ils ont du mal à revenir. Je vois que ça freine du côté bancaire, ça c’est indéniable. Je pense que le premier trimestre 2023 nous donnera la tendance.
Soit les banquiers réouvre les vannes et on en parlera plus, soit il ouvre les vannes mais avec des taux qui continuent à monter et là ça va freiner quand même. Mais il y a un plancher de sept 800 000 transactions qui sont obligatoires. Oui, et ce n’est pas des divorces, pas des mutations. Il y a toujours des gens qui voudront vendre des a, toujours des gens qui voudront acheter. Maintenant, si, si, si, ça se ralentit, ça ne fera que casser l’euphorie qui nous permettait de vendre un petit peu plus cher que prévu.
Michael : Donc vous voyez, c’est quand même beaucoup la presse. Leur but, c’est de vendre, c’est d’avoir des clics, c’est d’avoir des visiteurs. Donc, il y a des articles qui sont accrocheurs et c’est la catastrophe. Plus rien ne se vend.
Pour revenir à notre Live, Jean-Pierre qui dit « Le fonctionnement total de MeilleursBiens me revient à 3 % de mon chiffre d’affaires. » Merci pour ce chiffre que je n’avais pas et qui est hyper intéressant.

Juan : Je vais calculer pour contrer Jean-Pierre (rire), mais je pense que je serai un peu plus élevé que lui. Mais même uniquement à cause des locations. Après, c’est un détail ça.
Je voulais passer un petit message : Il y a quelques agents qui voulaient se frotter à la location et qui ont été confrontés à la location d’un studio. Je vais en louer un cette semaine. On est à 19 mètres carrés, donc 19 multiplié par 11 (parce que moi, je suis à 11 €), ça fait 215 € d’honoraires. C’est sûr que quand tu prends 215 € d’honoraires, deux fois, ça fait 430. Si tu lâche 149 HT à MeilleursBiens, il reste pas grand chose, mais c’est pas grave parce que c’est ça qui fait tourner la boutique, ça fait tourner MeilleursBiens.
Michael : Complètement. Je suis entièrement d’accord avec toi et d’ailleurs, que vous sachiez, Juan a un portefeuille d’activités qui est hyper smart. C’est à dire qu’il fait un tiers de transactions dans l’ancien, un tiers dans du neuf et un tiers de location. En gros, il n’a jamais de temps mort dans son activité.
Juan : Alors le neuf, il a un peu ralenti ces derniers temps parce que le promoteur avec qui je travaillais, on a tout vendu. Il a plu d’autres terrains et ça devient très dur dans ce domaine là. Le neuf m’a permis de fermer 400 clients de location en portefeuille parce que la gestion c’est une chose, mais les locations simples, j’ai un à peu près 400 logements que je loue régulièrement. C’est des gens à qui j’ai vendu les logements et à qui je garantie la location jusqu’à ce qu’ils décident de le revendre et que je rentre le mandat sans rien faire. Mais ça, c’est le neuf qui me l’a apporté.
Alors le neuf d’aujourd’hui n’est pas celui que j’ai connu il y a quinze ans. Il y a quinze ans, notre région était en plein développement. Il y avait plein de bâtiments neufs qui sortaient de terre. Il fallait y être. Aujourd’hui, c’est de plus en plus dur, C’est de plus en plus cher et c’est un petit peu réservé aux gros du le secteur.
Michael : François Xavier qui nous dit « Tu fais que la location ou également la gestion locative ? « . Je te laisse répondre à cette belle question Juan.
Juan : Alors sur les locations en moyenne. J’ai 400 logements pour on va dire 300 propriétaires réguliers. Donc ce qui m’assure entre 35 et 40 locations par an. Et là, c’est des locations simples, c’est de la mise en place de locataire. Et à ce jour, je suis à 40 lots de gestion avec Ma Gestion Locative.
Alors le gros atout avec Ma Gestion Locative, c’est qu’il y a de la récurrence, c’est à dire qu’il nous rétribue 20 % du chiffre d’affaires que l’on produit chez eux. Et ce trimestre là, je viens de faire une facture de 940 € de mémoire. Mon objectif numéro un pour taquiner Michael (rire) c’est que le prochain trimestre soit à 1 200 € et ça me paiera mon MeilleursBiens. Et là, c’est chiffré à 100 % du 100 % parce que Ma Gestion Locative va me verser 1 200 € tous les trimestres et avec les 1 200 €, là je paierai mes 400 € d’abonnement. C’est fabuleux et là je serai au top du top !
Michael : Mais oui mais écoute en tout cas j’espère ! Et en tout cas c’est plutôt bien parti ! Et Juan ne fait pas de la gestion locative parce que nous ne sommes pas habilités à faire de la gestion locative chez MeilleursBiens. Mais en revanche, on a notre partenaire depuis depuis deux ou trois ans maintenant, Ma Gestion Locative. Ils sont top et ils sont présents partout en France.
Juan : Ils sont supers pros !
Michael : Voilà, ils sont super ! Nous ça se passe très bien avec eux. Toi ça se passe très bien avec eux. Les propriétaires, ça se passe très bien avec eux !
Juan : Une fois qu’ils sont en gestion, je n’ai pas le moindre retour négatif ou quand il y en a un, il est géré dans la journée.
Michael : Eh bien, tant mieux ! C’est de cela qu’on a besoin, c’est d’avoir des prestataires de qualité et puis de pouvoir construire également son portefeuille de gestion. Ça, c’est un véritable outil. C’est un véritable actif en tout cas.
Juan : Sur la gestion locative, ils prennent 80 % des honoraires mais ils font 80 % du boulot. C’est à dire qu’ils rédigent le bail. Moi j’ai juste à faire l’état des lieux d’entrée, les visites. Le bail il est tiré à quatre épingles, il n’y a pas le moindre pépin dedans. Et derrière, quand il y a des problèmes, c’est eux qui les gèrent. Que ce soit un problème avec le proprio ou avec le locataire. Donc forcément on a que 20 % des honoraires.
Michael : En tout cas, on les salue !
Alors dis-nous, comment se passe ta relation avec les autres agents du réseau ?
Juan : Écoute, sur la Moselle on est quatre. Il y a Claudio à Thionville, on a bu un café ensemble la semaine dernière. Il y a Mélanie que j’ai vue la semaine d’avant. Et il y a Sophie avec qui j’ai fait un petit salon de l’immobilier dans la galerie du Leclerc. On s’entend super bien, mais si tu veux, on ne fonctionne pas en mode réunion à mort. Si je peux les aider, je les aide. Et avec Mélanie, on a partagé quatre ou cinq mandats ensemble. Elle avait un petit peu de mal à rentrer du mandat. Moi, j’en avais trop (rire). C’est sur la base du volontariat et c’est top !
Michael : Exactement ! Et d’ailleurs, je l’avais dit qu’on allait faire une petite tournée en France. Donc on sera à Metz le 8 et 9 décembre près de chez vous ! On va aller vous voir et rencontrer d’autres profils qui, je l’espère, seront sympathiques 🙂
Et alors ? Justement, c’est quoi les outils que tu utilises le plus avec MeilleursBiens ?
Juan : Hector, parce qu’il faut y mettre les biens pour la diffusion en ligne. Le meilleur partenariat que j’utilise sinon, c’est Ma Gestion Locative. La visite virtuelle également. La signature électronique de mandat aussi. Je l’ai découvert chez MeilleursBiens, je ne m’en passerais plus, puisque aujourd’hui, quand je dois faire un mandat papier, ça m’embête plus qu’autre chose. Je ne suis pas celui qui fait tourner le plus la boutique sur ce côté là, j’ai mon abonnement qui est linéaire avec les nombres d’annonces, que j’ai besoin et je ne le touche pas de l’année. Mais j’ai un abonnement qui est assez linéaire, que j’ai calé à 400 € TTC parce que ça me va bien et que j’ai assez pour bosser. Et à ce jour, j’en suis très satisfait.
Michael : Bah tant mieux et nous aussi on est satisfait que de te voir satisfait ! Et alors, ça serait quoi dans l’absolu, les outils ou les fonctionnalités que tu aimerais avoir en plus ?
Juan : Bien là c’est la question. Je sais, c’est la question que je ne saurai pas vraiment répondre. Je ne saurai pas vraiment répondre parce que par rapport à ma façon de travailler aujourd’hui, j’ai tout ce qu’il me faut. Je suis réactif, je gagne du temps, du plaisir. Donc non, pour moi, il n’y a plus grand chose à développer.
Je vois qu’il y a régulièrement des nouvelles sociétés qui présentent leurs services. Après, j’adhère. Je n’adhère pas. C’est un autre débat. Mais il en faut pour tout le monde. Et moi, je ne suis pas tout le monde et les autres ne sont pas tous des géants. Donc il faut satisfaire le maximum de gens. Moi, à ce jour, j’ai l’outil parfait pour 400 € par mois, Ça me va très bien comme ça.
Michael : Magnifique. Mais en tout cas, je peux affirmer une chose, c’est qu’on y travaille tous les jours ! Pour vous amener des meilleures choses, de meilleurs outils. Après, encore une fois, il n’y a aucune obligation de prendre ou pas. C’est simplement de sélectionner le meilleur du digital, le meilleur outil pour que vous puissiez être encore plus au top sur le terrain. Et après, à vous de voir si ça vous convient, si ça peut vous aider ou pas et si ça vous aide vous les avez à des tarifs préférentiels. Donc ça, c’est hyper important.
Et alors, dis-nous un petit peu plus comment tu t’organises ? Parce que une de tes craintes que tu avais, je me souviens parce que tu étais venu nous voir de Metz. Tu avais fait le déplacement et était venu nous voir, tu m’as dit « Ma crainte, Michael, c’est que j’ai l’habitude de travailler en agence et j’ai un peu peur de travailler de chez moi ». Dis nous maintenant comment on peut arriver à s’organiser ?
Juan : Ah ben aujourd’hui, je remettrai plus les pieds dans une agence. C’est une chose qui est certaine. J’ai mis un petit deux mois à trois mois à m’adapter parce que j’ai encore deux enfants à la maison, mais qui sont grands et partent au boulot le matin. Donc si tu veux le matin à 9h, tout le monde est parti au boulot et je me retrouve tout seul dans la maison à me dire mais comment tu vas gagner ta vie ? Il n’y a pas de clients qui franchissent la porte. Et c’était une inquiétude pour moi.
Et encore un des arguments de la location, c’est qu’elle m’occupe quasiment toute la semaine, quand c’est pas une visite, c’est un état des lieux.
Enfin bref. Et moi, je suis quelqu’un qui peut pas rester à la maison et ne pas avoir le téléphone qui sonne. Je vais tout de suite gamberger à me dire tu ne vas pas t’en sortir ce mois ci. Donc je fais de la location aussi pour ça.
Et cette période de trois mois, je me retrouvais à passer l’aspirateur dans la maison en me disant « Mais putain, le téléphone sonne pas ». C’était stressant pour moi le début. Alors que quand j’allais en agence, le téléphone sonnait pas plus. Mais j’avais l’impression d’être au travail. Et donc ça, j’ai mis un peu de temps à digérer. Aujourd’hui, je suis des fois même content quand mon planning me dit que j’ai rien le lendemain matin et que je vais décoincer un peu quoi. Je fais depuis des petits trucs plaisir.
Michael : Voilà ! En fait, tu l’as bien dit, il n’y a pas besoin, d’être en agence, d’être pignon sur rue ou d’être dans une agence qui fait 800 – 900 mètres carrés pour faire du chiffre. Si le chiffre était corrélé à la surface, ça se saurait.
Juan : Nan mais moi je veux douze mètres carrés de bureaux, ça me suffit.
Michael : Mais voilà exactement ! C’est ça le bonheur. On respecte vraiment la liberté et l’indépendance des agents. Ça n’est pas une vue de l’esprit. Quand on dit « Chez nous vous êtes totalement indépendants », vous voulez prendre six mois de vacances, vous prenez six mois de vacances. Il n’y a aucun souci là dessus. Il n’y a aucun lien de subordination.
Juan : Il faut que le chiffre d’affaires le permette, c’est tout (rire).
Michael : Ben oui, c’est exactement ça !
L’idée c’est vraiment d’avoir une vraie liberté. Et même en vacances, on peut signer des compromis. Je vais en profiter pour dire un petit mot concernant les compromis. Parce que souvent, vous savez, en ce moment, il y a une élection dans une fédération que je ne citerai pas et il se raccroche aux dernières branches. Oui, la carte T, les agents immobiliers versus les conseillers, ce n’est pas pareil.
Il existe à cela une solution qui s’appelle MyNotary, qui se fait sous la responsabilité du détenteur de la carte T du réseau ou de l’agence. Et les agents qui utilisent MyNotary vont pouvoir saisir les informations concernant ce bien. Ils qui s’occupent de la rédaction des compromis. Et ils vont pouvoir quand même les faire signer rapidement. Ça peut être en quelques heures si vous avez déjà rempli toutes les informations. Donc voilà cet argument de dire que les agents immobiliers ont plus de responsabilités, qu’ils font mieux le job… Moi je dis qu’une seule chose, c’est que c’est le client en bout de chaîne qui est le vrai juge. Le reste, ce n’est que de la fioriture, c’est que du pipeau. Voilà.
Sur ces belles paroles, je te laisse le mot de la fin Juan !
Juan : Je dirais pour conclure que l’année 2023 pourrait être difficile. Oui, j’ai envie de dire oui, peut être. Et j’ai envie de dire que si on fait de la location, on peut boucher les trous quand il y en a. Et OK, c’est chronophage. OK, des fois c’est un peu lourd à faire, mais quand tu as fait trois ou quatre locations dans le mois, c’est déjà top. Et si c’est un mois où tu n’as pas fait de transaction. Bah t’es bien content, ça te fait ton salaire ! Demain Ma Gestion Locative me payera mes trimestres de MeilleursBiens. Je compte beaucoup sur la location donc à bon entendeur. C’est du chiffre d’affaires.
Michael : Tu as raison ! Je vous encourage vivement en tout cas ! Et pour rebondir sur ce que vient de dire Juan. Il a raison parce que la location, c’est vrai que c’est chronophage. C’est vrai que ce n’est pas hyper rémunérateur. Mais en tout cas, si vous avez un projet en Moselle, appelez Juan.
C’était hyper cool de faire ce parole d’argent avec toi ! Merci à tous et à bientôt !